J'écoutais ce matin un disque du maestro Pavarotti « les plus belles chansons d'amour », chansons que j'ai retrouvées par la suite dans « Sentimento ».
Et il y avait celle-ci, de Tosti, sur des paroles françaises que j'ai toujours rêvé entendre chantée par Andrea :
Partir, c'est mourir un peu,
C'est mourir à ce qu'on aime :
On laisse un peu de soi-même
En toute heure et en tout lieu.
C'est toujours le deuil d'un voeu,
Le dernier verset d'un poème ;
Partir c'est mourir un peu,
C'est mourir à ce qu'on aime.
Et l'on part et c'est un jeu,
Et jusqu'à l'adieu suprême
C'est son âme que l'on sème,
Que l'on sème à chaque adieu :
Partir c'est mourir un peu
Partir c'est mourir un peu.